Arrondissement 5 Ouenze : un sujet Kinois, friand de la viande de chien, mis à découvert

A Brazzaville, les ressortissants étrangers continuent à se comporter comme de véritables « kuluna alimentaire ». Ce 1^er juillet à Ouenze, la police a mis la main sur un sujet de la RDC qui était en train de dépecer la viande de chien, on ne sait pour quelle fin utile. L’hypothèse selon laquelle, il a l’habitude de manger une telle viande n’a pas été convaincante aux yeux des congolais.

                      Le chien, l'ami fidèle de l'homme, victime d'un braconnage

Le phénomène « kuluna » a changé de  de forme dans les quartiers de Brazzaville. Le braconnage domestique devient le domaine de prédilection des criminels. Et, il ne se passe plus un jour dans la ville capitale sans qu’on mette la main sur certaines personnes friandes des viandes de certains animaux domestiques, comme le chien et le chat, interdites de consommation et de vente au Congo.

Comme à l’accoutumé, les sujets de la RDC, toujours eux,  foulent au pied ces interdits et depuis un certain temps une guerre est lancée contre ces espèces animales pour récupérer cette viande pour des besoins utiles. Ce 1^er juillet, un sujet kinois est tombé dans les mailles de la police avec une viande de chien prête à être servie comme nourriture.

Ces «  malewa » que les congolais affectionnent tant et dont les prix sont à la portée de toutes les bourses sont souvent ravitaillés par ce genre de viande et qui ne coutent pas les yeux de la tête pour s’en procurer. Les kinois qui sont maitres de l’art ne laissent plus un seul instant ces animaux divagués dans tous les quartiers de Brazzaville. Et les plaintes des propriétaires des chiens sont devenues monnaie courante.

Des témoignages recueillis révèlent que, le commerce de la viande de chien  procurent des énormes bénéfices à leur vendeur. Depuis le mois d’avril, c’est le 3^ème cas de figure mis à découvert par la police congolaise. Le premier sujet RDC a été découvert dans une parcelle nue dans les environs du CHU. Le deuxième a été pris la main dans le sac à Kinsoundi en livrant sa marchandise au près d’un wara.

Comme on le voit, le « kuluna alimentaire » évolue dans des proportions inquiétantes dans les quartiers et là où le bât blesse est que, ces braconniers sont en situation irrégulière. C’est autant dire que, il ya des complicités dans les quartiers et surtout du côté des propriétaires des maisons à louer pour dénoncer les kinois en situation irrégulière. Alors, le général Ndenguet « fongola miso ».